lundi 14 octobre 2013

Flash-info : Gaz de schiste : le Conseil constitutionnel valide la loi

Flash info
Gaz de schiste : le Conseil constitutionnel valide la loi Le 11 octobre 2013

Il confirme l'interdiction de la fracturation hydraulique

L'exploitation des hydrocarbures non conventionnels par la technique de la fracturation hydraulique est dramatique pour l'environnement, la santé et les paysages. En juillet 2011, le législateur l'avait compris. Aujourd'hui le conseil constitutionnel dit qu'il ne s'était pas trompé.

FNE a su défendre la loi interdisant la facturation hydraulique depuis son élaboration jusque devant le Conseil constitutionnel qui a suivi quasi-intégralement notre argumentation en défense. Suite à cette décision nous demandons que la réforme du code minier, entamée il y a presque un an et dont une version complète est prête depuis trois mois, arrive rapidement dans l'hémicycle, avant que les lobbies n'aient réussi à « détricoter » les quelques avancées positives.

samedi 12 octobre 2013

Dites NON a la Bromadiolone

Une consultation publique concernant un projet d’arrêté relatif à l’utilisation de la bromadiolone est ouverte jusqu’au 16 octobre inclus. Ce poison employé par les agriculteurs contre les micro-rongeurs est particulièrement néfaste et contamine notamment les rapaces qui consomment des rongeurs empoisonnés. Plusieurs espèces classées «nuisibles » (renard, martre, fouine, putois, belette…) sont des prédateurs naturels des petits rongeurs. Le déclassement de ces espèces et l’arrêt de leur persécution par les piégeurs, serait une alternative efficace et écologique ! Nous vous invitons à exprimer votre avis. Pour consulter l’arrêté et participer à la consultation : cliquez-ici.


mardi 8 octobre 2013

La justice casse une autorisation permettant des tirs de loups lors de chasses

Voici quelques communiqués AFP que nous vous relayons.

NICE, 04 oct 2013 (AFP) - Des chasseurs des Alpes-Maritimes venaient d'être autorisés à tuer des loups à l'occasion de battues aux gibiers: cette liberté inédite a été suspendue net vendredi par un juge des référés de Nice, à la grande satisfaction des associations de défense des animaux sauvages.


"Victoire pour le loup!," a immédiatement réagi un collectif des principales associations écologistes (ASPAS, FERUS, FNE), qui dénonçait des pratiques d'un autre temps.

"L'autorisation de battues pour une espèce protégée au niveau européen constitue un recul inacceptable en matière de protection de la nature", ont-ils souligné, en déplorant que l'Etat ait pu donner "carte blanche à des chasseurs" sans aucun encadrement officiel.

  Photo @ Anthony Kohler


Et dans la même veine article lu dans le dernier Espaces naturels (n°44) p6 : "Après une nouvelle attaque de loup dans le département, le préfet du Var a annoncé qu'il recherchait des chasseurs spécialisés en Amérique du Nord ou en Europe de l'Est. Le représentant de l'Etat a promis de faire de la régulation du loup une priorité.[]"En France, personne ne sait chasser le loup", a-t-elle indiqué samedi. Après la faillite d'une battue "à Canjuers, en février dernier", où avaient été engagés "150 chasseurs", elle veut donc se doter de chasseurs de loup "spécialisés", "pourquoi pas en Amérique du Nord ou en Europe de l'Est", indique lundi Var Matin.

Car dans le département, précise le quotidien régional, le bilan s'élève à cinq chèvres égorgées par loup et par an.

Si vous voulez en savoir plus lien de l'article http://mic.fr:cgy7 Après une nouvelle attaque samedi, les propriétaires de la dernière victime en  date ont donc déposé son cadavre devant la mairie d'Aups, où le préfet était de passage.

Face à la difficulté de réduire la population de loups dans le département de France le plus touché par des attaques de troupeaux, la préfecture des Alpes-Maritimes avait autorisé pour la première fois à la mi-septembre les chasseurs à tirer sur des loups lors de battues aux grands gibiers, dans sept zones de chasse précises.

Dans ce cadre, des chasseurs ont tué un loup et une louve, au grand dam de trois associations écologistes qui ont immédiatement saisi le tribunal administratif de Nice.

Un jugé des référés leur a donné raison vendredi, en estimant qu'il y avait effectivement "urgence" à "suspendre" des arrêtés préfectoraux présentant "un doute sérieux" de légalité.

Il s'est appuyé sur un arrêté gouvernemental stipulant que les opérations de "tirs de prélèvements" de loups se faisaient sous la supervision de fonctionnaires de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), éventuellement avec l'aide de chasseurs bénévoles formés par cette organisation.

Le juge avait écouté mercredi pendant deux heures les avocats des trois associations et de la préfecture.

Le conseil de la préfecture, David Barjon, avait argué que l'ONCFS exerçait un contrôle avant et après ces battues de chasseurs.

"La totalité du quota français peut-il être tué dans les Alpes-Maritimes?", a interrogé le juge.

Dans ce département, les chasseurs étaient autorisés à tuer un nombre illimité de loups lors d'une partie de chasse.

Le gouvernement a plafonné "les prélèvements" de loups à 24 cette année, représentant environ 10% de leur population estimée dans les massifs français.

"Seuls quatorze loups ont été tués dans le département en neuf ans, dont quatre durant l'été", avait précisé Louis Bernard, responsable de l'ONCFS pour les Alpes-Maritimes.

'No man's land' 

"Une battue peut être organisées à partir de deux chasseurs. On est dans un no man's land ! Tous les chasseurs de France voudraient tuer un loup", avait rétorqué M Benoît Candon, représentant l'Association pour la protection des animaux sauvages (Aspas) à l'origine de la requête, ainsi que Ferus (association de protection du loup, du lynx et de l'ours).

L'avocat s'était dit "excédé que l'Etat considère que les montagnes sont l'attribut des éleveurs", alors que "les randonneurs aimeraient rencontrer des loups".

Son confrère Mathieu Victoria, qui défendait l'association France Nature Environnement, s'est montré satisfait vendredi d'une décision allant dans le sens "d'une présence pérenne du loup dans nos territoires".

Fort de cette victoire, M Candon vient de déposer des requêtes contre d'autres arrêtés permettant aux chasseurs d'abattre des loups dans les Alpes-de-Haute-Provence et la Drôme.

vendredi 4 octobre 2013

Ça chauffe !

Le pire scénario se confirme et peu d'évolution dans les décisions politiques. Voici le lien pour lire le dernier rapport du GIEC sur les changements climatiques. Édifiant!




A en croire ce rapport, le Géranium sanguin, espèce assez rare dans le Cantal, a un avenir radieux.

Comme dit un proverbe d'on ne sait plus où : "C'est au pied du mur qu'on le voit le mieux."

jeudi 3 octobre 2013

Fête de la science

MUSÉUM HENRI-LECOQ 

Evénement

Entrée gratuite du 8 au 13 octobre

 

Dans le cadre de la Fête de la science,

l'entrée du muséum Henri-Lecoq sera gratuite pour tous du 8 au 13 octobre,

aux horaires habituels d'ouverture au public.

 

 

Pour profiter de la Fête de la science,

l'INRA de Clermont-Ferrand - Theix,

le Conseil général du Puy-de-Dôme (service Science et Société)

et le muséum Henri-Lecoq

proposent :

 

Courts de Sciences, du 7 au 12 octobre

Manifestation gratuite avec une thématique renouvelée chaque année,

Courts de Sciences permet une approche pédagogique des sciences grâce à la diffusion de courts métrages associée à un débat avec des professionnels, experts des thèmes abordés cette année : l'eau, les réseaux sociaux et les micro-organismes.

>> Espace municipal Georges-Conchon, rue Léo-Lagrange à Clermont-Ferrand.

Séances accessibles au public : lundi, mercredi et jeudi à 18h30.

Autre séances : réservation obligatoire pour les scolaires et accueils de loisirs auprès du muséum (04 73 42 32 00).

Plus d'infos sur Courts de Sciences.

 

 

15, rue Bardoux

63000 Clermont-Ferrand

04 73 42 32 00

Ouvert du mardi au samedi de 10h à 12h et 14h à 17h,

dimanche de 14h à 17h.

 

 

A voir : "Affaires de Plombs", exposition présentée jusqu'au 16 mars 2014.

 

muséum Henri-Lecoq

 

mercredi 2 octobre 2013

Des conférences sur l'Aubrac

Dans le cadre de la création du Parc Naturel Régional de l'Aunrac (à cheval sur le Cantal, la Lozère et l'Aveyron, juste un message vous informant de l'organisation d'un cycle de 6 conférences sur l'Aubrac, vous trouverez ci-joint le dépliant détaillant le contenu et les intervenants de chaque conférence.

Vous pouvez également retrouver toutes ces informations sur notre site internet www.projet-pnr-aubrac.fr à la rubrique actualités.

Ces conférences gratuites sont prévues en soirée (20h30-22h00) et sont ouvertes à tout public.